La recherche ou le repérage d’une fuite par un gaz traceur est une opération par laquelle un gaz marqué dit gaz traceur (mélange d’azote + hydrogène) est introduit dans les canalisations pour ensuite être localisé à ses résurgences au niveau du sol.
Avoir recours à la recherche de fuite grâce au gaz traceur se trouve être la solution la plus adaptée lorsque les dispositifs phoniques n’ont pas la qualification nécessaire pour résoudre le problème (manque de points d’écoutes, réseaux non-conducteurs, fuite noyée…) ou lorsqu’il y a un alliage de matériaux dont les longueurs restent inconnues.
À l’aide de plaques pleines ou de vannes étanche, la canalisation devra préalablement être isolée et munie d’un point d’injection disposant d’un raccord type « tête de chat » afin de s’assurer du bon déroulement de l’opération.
Dans le but de faciliter la réapparition du gaz traceur, le sol devra être percé au préalable (diam.15mm) environs tous les 2 mètres de sorte à atteindre la couche perméable. Dans le cadre d’un domaine perméable (terre naturelle, etc.), la réalisation de cette opération est dispensable.
Afin de localiser la ou les réapparition(s) du gaz traceur, il faudra effectuer un passage à l’aplomd de la canalisation au sein de laquelle le gaz a été mis en pression initialement.
La localisation des particules d’hydrogènes se trouve être réalisable. Ainsi, la fuite est détectée principalement en tenant compte dans la zone de résurgence de la concentration d’hydrogène présente, à partir d’une particule par million.
Pour la détection de fuite par gaz traceur (mélange hydrogène/azote) qui est un développement le plus recommandé. Il ne réagit que très faiblement avec les autres gaz inflammables et riposte rapidement à la moindre quantité d’hydrogène (0-3000 ppm).
Pour cette méthode de détection de fuites, il se trouve être un avantage décisif grâce à la réduction des erreurs d’interprétation causées par les décharges, les émissions de circulation, etc.